Les contreforts du Mato Grosso |
Nous voici à nouveau aux portes de l'Amérique. Nous ne savions pas si nous devions partir ou trouver une vie plus stable plus rapidement. Nous nous sommes levés ce matin pour prendre le train avec Antoine et ensuite la navette qui devait nous mener à l'aéroport de Toulouse avec pour destination Madrid puis Lima. Le stress est très vite monté dans la navette quand nous nous sommes aperçu qu'il faudrait bien plus des vingt minutes affichées pour pouvoir arriver jusqu'à l'aéroport. En effet, les toulousains ne dérogent pas à la règle du mono-voiturage et les embouteillages ont failli avoir raison de notre voyage. Heureusement, un peu de chance était avec nous et nous sommes arrivé quelques minutes avant la fermeture du guichet et un refus d'enregistrement. L'avion est même un tout petit peu en retard. Le seul risque de ce retard c'est de passer quelques temps à Lima sans bagages puisque la correspondance était vraiment courte.
Dans l'avion qui survole depuis un bon moment la forêt amazonienne, je reviens un peu sur les raisons de ce voyage. En premier lieu, l'envie de revoir ce continent qui nous a charmé et où la sensation de liberté était plus forte. Nous voulons aussi voir un certain nombre de lieux à côté desquels nous sommes passés par manque d'argent ou de temps et découvrir d'autres lieux qui ne manqueront pas d'être magiques. Enfin, la destination devait aussi me permettre de peaufiner la fiction que je suis en train d'écrire sur l'empire inca.
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