Après mon dernier billet, nous sommes rentrés à pied à la ferme. Le stop fonctionne très bien et permet de discuter rapidement (puisqu'il faut dix minutes pour rejoindre El Bolson ou Lago Puelo) avec pas mal de gens mais Eléonora nous avait dit que la ballade vallait le coup.
La promenade d'El Bolson à notre ferme nous a offert une nouvelle vue magnifique sur la vallée. Le début est un peu difficile et monte presqu'à pic mais ensuite, le chemin descend sur tout le long. On remarque vite qu'un incendie a ravagé la région il y a peu, les pins gagnent par rapport aux espèces locales qui repoussent moins vite. L'incendie a eu lieu en 1999 et a brulé la majeure partie de ce qui s'appelle la butte du milieu. De la colline, on domine la ville et les quartiers plus pauvres qui se situent au bord du Rio Quequemtreu. El Bolson est une ville touristique par excellence mais ce ne sont pas les chefs-d'oeuvre d'architecture qui attirent. Je pense qu'en premier lieu il y a eu la vue qui est offerte à 360° et ensuite la foire artisanale dont j'ai déjà parlé. La ville n'étant pas connu pour ses chefs-d'oeuvre architecturaux, les touristes quand ils sont en ville restent donc près de l'artère principale qui comme dans beaucoup de villes des andes argentines, s'appelle San Martin. Les quartiers populaires ne sont donc pas loin de cette artère et sont construits dans les zones innondables (et sans doute sujettes aux glissements de terrain) de la ville. A la jumelle, il est facile de voir différents refuges de montagne qui cernent la ville dont celui dans lequel nous avons été mais il est beaucoup plus difficile d'apercevoir des condors, surtout quand on ne sait pas où ils logent. En continuant le chemin, la vue sur la vallée s'ouvre vraiment au sortir d'un tournant et on peut voir le lac et la ville qui se nomment tous deux Lago Puelo en aval. Ensuite, nous suivons la route qui mène du camping Rio Azul à notre ferme.
En parlant de la ferme, la date du départ est plus ou moins arrêtée et sera normalement mercredi trois cela nous permettra de visiter encore un peu et de ne pas descendre trop vite vers le sud où il fait froid. Les relations se sont réchauffées mais les repas se font de plus en plus rares. Le marché consistait au départ en trois repas par jour week-end compris pour quatre heures de travail et au final nous avons deux repas (dont un maigre petit déjeuner) et le week-end n'est pas compris. Nous nous sommes donc retrouvés, samedi soir, à manger un burger cher et dégueulasse à 23h00 après avoir appris que les repas du week-end n'étaient plus inclus. Je ne pense pas que ça soit par manque d'argent puisque la fille vient d'avoir une pochette machin Kitty pour son téléphone portable. A cette allure, il nous faudra payer le logement dans deux semaines (comme il est possible de le voir). Dans certains cerveaux, de volontaire à pigeon, il n'y a qu'un pas et je crois que notre hôte est prête pour le franchir.
Le plan pour ce week-end est de monter au refuge de Cierro Lindo et de là atteindre le Cierro Nora. Il n'est pas beaucoup plus haut que le refuge et si les forces nous restent, nous pourrons peut-être atteindre la cîme du Cierro Lindo qui commence à se dégarnir du peu de neige qu'il a fait cet hiver. Nous espérons que le refuge sera ouvert puisqu'il était encore fermé, il y a quinze jours.
La promenade d'El Bolson à notre ferme nous a offert une nouvelle vue magnifique sur la vallée. Le début est un peu difficile et monte presqu'à pic mais ensuite, le chemin descend sur tout le long. On remarque vite qu'un incendie a ravagé la région il y a peu, les pins gagnent par rapport aux espèces locales qui repoussent moins vite. L'incendie a eu lieu en 1999 et a brulé la majeure partie de ce qui s'appelle la butte du milieu. De la colline, on domine la ville et les quartiers plus pauvres qui se situent au bord du Rio Quequemtreu. El Bolson est une ville touristique par excellence mais ce ne sont pas les chefs-d'oeuvre d'architecture qui attirent. Je pense qu'en premier lieu il y a eu la vue qui est offerte à 360° et ensuite la foire artisanale dont j'ai déjà parlé. La ville n'étant pas connu pour ses chefs-d'oeuvre architecturaux, les touristes quand ils sont en ville restent donc près de l'artère principale qui comme dans beaucoup de villes des andes argentines, s'appelle San Martin. Les quartiers populaires ne sont donc pas loin de cette artère et sont construits dans les zones innondables (et sans doute sujettes aux glissements de terrain) de la ville. A la jumelle, il est facile de voir différents refuges de montagne qui cernent la ville dont celui dans lequel nous avons été mais il est beaucoup plus difficile d'apercevoir des condors, surtout quand on ne sait pas où ils logent. En continuant le chemin, la vue sur la vallée s'ouvre vraiment au sortir d'un tournant et on peut voir le lac et la ville qui se nomment tous deux Lago Puelo en aval. Ensuite, nous suivons la route qui mène du camping Rio Azul à notre ferme.
En parlant de la ferme, la date du départ est plus ou moins arrêtée et sera normalement mercredi trois cela nous permettra de visiter encore un peu et de ne pas descendre trop vite vers le sud où il fait froid. Les relations se sont réchauffées mais les repas se font de plus en plus rares. Le marché consistait au départ en trois repas par jour week-end compris pour quatre heures de travail et au final nous avons deux repas (dont un maigre petit déjeuner) et le week-end n'est pas compris. Nous nous sommes donc retrouvés, samedi soir, à manger un burger cher et dégueulasse à 23h00 après avoir appris que les repas du week-end n'étaient plus inclus. Je ne pense pas que ça soit par manque d'argent puisque la fille vient d'avoir une pochette machin Kitty pour son téléphone portable. A cette allure, il nous faudra payer le logement dans deux semaines (comme il est possible de le voir). Dans certains cerveaux, de volontaire à pigeon, il n'y a qu'un pas et je crois que notre hôte est prête pour le franchir.
Le plan pour ce week-end est de monter au refuge de Cierro Lindo et de là atteindre le Cierro Nora. Il n'est pas beaucoup plus haut que le refuge et si les forces nous restent, nous pourrons peut-être atteindre la cîme du Cierro Lindo qui commence à se dégarnir du peu de neige qu'il a fait cet hiver. Nous espérons que le refuge sera ouvert puisqu'il était encore fermé, il y a quinze jours.
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